Villa Jamila

Villa d'exception, Route de Ouarzazate

Prix de vente : 0 €

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Nous aimons

son salon avec sa magnifique hauteur sous plafond,
ses larges baies vitrées pour plus de lumière,
ses nombreuses terrasses.

Nous adorons

sa piscine extérieure de 300 m² chauffée,
son jardin luxuriant sur plus de un hectare,
son jacuzzi extérieur avec vue sur l’Atlas.

L' avis du spécialiste

La première fois que je me suis rendu dans cette villa de prestige à Marrakech, c’était mi mars, il était 10h du matin. La neige était tombée toute la nuit sur les monts culminants du Toubkal et sur la station de l’Oukaimiden à 70 kms de là. Le blanc étincelant de la neige fraichement tombée reflétait une lumière si vive que le port de lunettes de soleil était une nécessité. J’ai ce souvenir de la cime des arbres vert luisant de la villa qui se mêlait au blanc des montagnes. Le spectacle était grandiose. Le calme et la sérénité régnaient tout autour et de minuscules éclats de lumière jaillissaient de la piscine bleu azur. Face à ce magnifique bassin de vingt mètres par six, la villa Jamila déployait tous ses charmes et ses impressionnantes baies vitrées laissaient apparaître un mobilier contemporain aux lignes épurées. Au 1er étage un jacuzzi se trouvait sur une des terrasses qui donnaient accès aux chambres. Je rentrais dans la villa et commençais la visite. En rez de jardin un magnifique et immense salon dont la hauteur sous plafond était à coupe le souffle. La porte d’une cuisine moderne et bien rangée était entrouverte et j’apercevais le joli sourire de la cuisinière Najet qui préparait un thé et des msemens en guise de bienvenue. La villa se composait de 7 suites magnifiques dans la villa principale et 2 suites dans le pavillon d'invités dans le jardin. Tout le confort d’une villa de prestige s’offrait à moi (coffre fort, peignoir, télévision par satellite, lit king size, draps en coton d’Egypte,…). Une odeur de propre et de fleur d’oranger embaumait l’étage. J’étais conquis par cette visite et me promettait de revenir très vite saluer Najet la cuisinière, Rachid le gardien et Mustapha le jardinier dont je n’oublierai ni leur sourire, ni leur gentillesse.